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Memoriam
Le premier projet avait pour consigne de créer une interaction avec le spectateur. Ainsi, j’ai appréhendé cette approche d’une double manière : d’une part, les images et les fragments de miroirs suspendus au cercle lui-même suspendu font qu’il y a un mouvement constant du tout. Le spectateur peut évoluer autour ou aller au milieu. Aussi, il s’agit aussi de jouer sur une dimension mentale. En effet, les images – bien que personnelles – permettent de se remémorer un souvenir ou d’imaginer un endroit par leur polysémie. Un joli paysage, un œil détaillé, un bras ensanglanté…chacune génère un sentiment différent. Finalement, l’utilisation des miroirs se justifie par le jeu de lumière que créent leur mouvance apportant un certain dynamisme à l’installation. Ils permettent aussi, parfois, de se voir à travers leur réflexion et donc d’engager le visionneur encore plus dans son imagination.

Productions art plastiques
Le premier projet avait pour consigne de créer une interaction avec le spectateur. Ainsi, j’ai appréhendé cette approche d’une double manière : d’une part, les images et les fragments de miroirs suspendus au cercle lui-même suspendu font qu’il y a un mouvement constant du tout. Le spectateur peut évoluer autour ou aller au milieu. Aussi, il s’agit aussi de jouer sur une dimension mentale. En effet, les images – bien que personnelles – permettent de se remémorer un souvenir ou d’imaginer un endroit par leur polysémie. Un joli paysage, un œil détaillé, un bras ensanglanté…chacune génère un sentiment différent. Finalement, l’utilisation des miroirs se justifie par le jeu de lumière que créent leur mouvance apportant un certain dynamisme à l’installation. Ils permettent aussi, parfois, de se voir à travers leur réflexion et donc d’engager le visionneur encore plus dans son imagination.

Vénus en Versace
Le sujet de ce travail était de faire une campagne de communication pour la promotion d’un projet de deux annonceurs s’unissant. Nous avons ainsi dû créer un support manuellement. Le visuel que nous avons créé réunit deux annonceurs qui sont le Musée du Louvre et la marque de haute couture Versace. Dans le cadre du lancement de sa nouvelle collection printemps/été, la société italienne a déterminé avec le musée une exposition temporaire composée de tous les Venus européennes vêtues de leurs tissus (Vénus de Milo, Vénus d'Arles, Vénus de Rome, Vénus de Rome, Vénus de Médicis, Vénus Genetix, Vénus de Cnidus, Vénus de Capoue) ainsi qu’un défilé lors de son ouverture. Ainsi est né un antagonisme divin entre la Méduse de Versace et la Vénus sculptée.
L'intérêt de cette association est d'une part de faire connaître les sculptures européennes dans le centre de Paris, et d'une autre part de promouvoir la marque de luxe dans un contexte tout à fait différent du sien. Cet événement, qui se déroule dans la capitale, s'adresse aux hommes et femmes PCS+ qui s'intéressent à l'art et à la mode. Ils doivent percevoir des revenus suffisantes pour se permettre l’achat de produits de marque et pour payer l'entrée à l'exposition temporaire à un prix assez élevé justifié par son exclusivité. En fin de compte, le projet s'engage à répondre à l'union de deux annonceurs dans le cadre d'une collaboration culturelle et marketing. Même si les deux dessins (Vénus habillée et logo) sont monosémiques, il nous a semblé nécessaire d'étoffer leur signification en ajoutant un titre puissant et quelques informations. Il y a donc une redondance entre le message linguistique et le message iconique, mais ce n’est jamais que pour stabiliser la compréhension du visuel. Finalement, nous avons choisi de faire une affiche propre, sans trop d'éléments, mais avec des touches frappantes pour toujours mieux revenir à un positionnement similaire à celui des marques de haute couture.
L'intérêt de cette association est d'une part de faire connaître les sculptures européennes dans le centre de Paris, et d'une autre part de promouvoir la marque de luxe dans un contexte tout à fait différent du sien. Cet événement, qui se déroule dans la capitale, s'adresse aux hommes et femmes PCS+ qui s'intéressent à l'art et à la mode. Ils doivent percevoir des revenus suffisantes pour se permettre l’achat de produits de marque et pour payer l'entrée à l'exposition temporaire à un prix assez élevé justifié par son exclusivité. En fin de compte, le projet s'engage à répondre à l'union de deux annonceurs dans le cadre d'une collaboration culturelle et marketing. Même si les deux dessins (Vénus habillée et logo) sont monosémiques, il nous a semblé nécessaire d'étoffer leur signification en ajoutant un titre puissant et quelques informations. Il y a donc une redondance entre le message linguistique et le message iconique, mais ce n’est jamais que pour stabiliser la compréhension du visuel. Finalement, nous avons choisi de faire une affiche propre, sans trop d'éléments, mais avec des touches frappantes pour toujours mieux revenir à un positionnement similaire à celui des marques de haute couture.

Venus en Versace
Détail du dessin et du tissage de la robe.

Venus en Versace
Version infographique 1.

Venus en Versace
Version infographique 2.
PRODUCTIONS PLASTIQUES

Déperdition
Le travail soumis au projet est décliné en une histoire. Chacun des quatre oreillers présente une fente, invitant les spectateurs à l’écarter pour observer ce qu’il s’y trouve. Tout d'abord apparaît la photographie d'une jeune fille dormant paisiblement (voir photo suivante). Puis, cette même fille tient plusieurs plaquettes de médicaments dans sa main dans le deuxième coussin. Cette image est floue, rapide et violente. Poursuivant, le sujet s'est complètement retourné et révèle un dos mutilé, agressé voire détruit. Le dernier coussin contient un soutien-gorge, celui que la femme portait dans les photographies précédentes. Toutes les images sont en noir et blanc pour n'avoir aucun sens donné par les couleurs et pour pouvoir jouer sur les ombres et les contrastes qu'elles offrent. Les oreillers sont tous les mêmes et sont intacts (sauf la fente) pour ne pas suggérer quoi que ce soit de l'extérieur. Ils inspirent à la fois douceur et confort, mais l'encoche au milieu vient briser ce sentiment pour attirer la curiosité du spectateur et l'encourager à découvrir l'opposition entre la douceur du coton et les blessures de la femme. Au final, l’intimité de la protagoniste est devenue extimité par la curiosité du spectateur.
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).

Déperdition
Le travail soumis au projet est décliné en une histoire. Chacun des quatre oreillers présente une fente, invitant les spectateurs à l’écarter pour observer ce qu’il s’y trouve. Tout d'abord apparaît la photographie d'une jeune fille dormant paisiblement (voir photo suivante). Puis, cette même fille tient plusieurs plaquettes de médicaments dans sa main dans le deuxième coussin. Cette image est floue, rapide et violente. Poursuivant, le sujet s'est complètement retourné et révèle un dos mutilé, agressé voire détruit. Le dernier coussin contient un soutien-gorge, celui que la femme portait dans les photographies précédentes. Toutes les images sont en noir et blanc pour n'avoir aucun sens donné par les couleurs et pour pouvoir jouer sur les ombres et les contrastes qu'elles offrent. Les oreillers sont tous les mêmes et sont intacts (sauf la fente) pour ne pas suggérer quoi que ce soit de l'extérieur. Ils inspirent à la fois douceur et confort, mais l'encoche au milieu vient briser ce sentiment pour attirer la curiosité du spectateur et l'encourager à découvrir l'opposition entre la douceur du coton et les blessures de la femme. Au final, l’intimité de la protagoniste est devenue extimité par la curiosité du spectateur.
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).

Déperdition
Le travail soumis au projet est décliné en une histoire. Chacun des quatre oreillers présente une fente, invitant les spectateurs à l’écarter pour observer ce qu’il s’y trouve. Tout d'abord apparaît la photographie d'une jeune fille dormant paisiblement (voir photo suivante). Puis, cette même fille tient plusieurs plaquettes de médicaments dans sa main dans le deuxième coussin. Cette image est floue, rapide et violente. Poursuivant, le sujet s'est complètement retourné et révèle un dos mutilé, agressé voire détruit. Le dernier coussin contient un soutien-gorge, celui que la femme portait dans les photographies précédentes. Toutes les images sont en noir et blanc pour n'avoir aucun sens donné par les couleurs et pour pouvoir jouer sur les ombres et les contrastes qu'elles offrent. Les oreillers sont tous les mêmes et sont intacts (sauf la fente) pour ne pas suggérer quoi que ce soit de l'extérieur. Ils inspirent à la fois douceur et confort, mais l'encoche au milieu vient briser ce sentiment pour attirer la curiosité du spectateur et l'encourager à découvrir l'opposition entre la douceur du coton et les blessures de la femme. Au final, l’intimité de la protagoniste est devenue extimité par la curiosité du spectateur.
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).

Déperdition
Le travail soumis au projet est décliné en une histoire. Chacun des quatre oreillers présente une fente, invitant les spectateurs à l’écarter pour observer ce qu’il s’y trouve. Tout d'abord apparaît la photographie d'une jeune fille dormant paisiblement (voir photo suivante). Puis, cette même fille tient plusieurs plaquettes de médicaments dans sa main dans le deuxième coussin. Cette image est floue, rapide et violente. Poursuivant, le sujet s'est complètement retourné et révèle un dos mutilé, agressé voire détruit. Le dernier coussin contient un soutien-gorge, celui que la femme portait dans les photographies précédentes. Toutes les images sont en noir et blanc pour n'avoir aucun sens donné par les couleurs et pour pouvoir jouer sur les ombres et les contrastes qu'elles offrent. Les oreillers sont tous les mêmes et sont intacts (sauf la fente) pour ne pas suggérer quoi que ce soit de l'extérieur. Ils inspirent à la fois douceur et confort, mais l'encoche au milieu vient briser ce sentiment pour attirer la curiosité du spectateur et l'encourager à découvrir l'opposition entre la douceur du coton et les blessures de la femme. Au final, l’intimité de la protagoniste est devenue extimité par la curiosité du spectateur.
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).
Dans le sens que nous voulons lui donner, cette sérigraphie représente l'autodestruction vue de l'extérieur, les gens ne voient pas qu'une personne va mal, et malgré les signes avant-coureurs (ici, les médicaments), ils ne se rendront compte qu'ils doivent agir une fois qu'il est trop tard. Ainsi se développeront deux sentiments potentiels dans celui qui verra ces images. D'une part, il voudra satisfaire son désir de découvrir, mais se rendra compte que ce désir était peut-être pervers. D'autre part, il se demandera ce qu'il est advenu de la personne et pourquoi il ne s'attendait pas à ce qu'elle disparaisse (même si elle laisse derrière elle un objet physique qui la décrit).
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